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 Aliénor Vanderbilt - Cercle de la Sorcière - Doyenne - Ventrue

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Logan Grimhood

Logan Grimhood


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MessageSujet: Aliénor Vanderbilt - Cercle de la Sorcière - Doyenne - Ventrue   Aliénor Vanderbilt - Cercle de la Sorcière - Doyenne - Ventrue EmptySam 24 Sep - 16:36




Aliénor Vanderbilt “Toujours se méfier de l'eau qui dort, car parfois c'est juste une illusion...”


Mon identité...



۞ Prénom et nom : Aliénor-Victoria-Marianne-Natalie Vanderbilt Roche de Cantel
۞ Date et lieu de naissance : 16 décembre 1815. Swindon, Angleterre.
۞ Espèce : Vampire
۞ Clan : Ventrue
۞ Ligue : Cercle de la Sorcière
۞ Rang hiérarchique/poste : Doyenne
۞ Pouvoirs : 
۞ Date et lieu d’étreinte : 25 mai 1850. Newport, Pays de Galles. 
۞ Age apparent/vampirique : 35 ans / 166 ans.
۞ Dame : Cassandra De Marchellier.
۞ Avatar : Anne Hathaway







Mon Histoire...

Once upon a time ...


Baie du Massachussetts, Nouvelle-Angleterre.

La région était dépourvue de contrôle royal depuis 1630, dès lors c’étaient l’ensemble des puritains qui gouvernait les terres. Ils traversaient par la même une période de paranoïa intense et d’hystérie provoquée par leur fanatisme débridé. Les conflits avec les amérindiens n’arrangeaient en rien ce sentiment d’insécurité. Mais tout commença par de forts soupçons et témoignages vigoureux selon lesquels avaient eu lieu, dans les forêts environnantes, des sabbats de sorcières. On disait avoir vu ces assemblées nocturnes comportant hommes et femmes s’adonner à des rituels païens. On accusa nombre de villageois de s’unir corps et âme aux démons. La confiance n’existait plus alors que régnait déjà à Salem Town une atmosphère lugubre mêlée au parfum de la folie pure. Arriva l’an 1692 et avec lui le fameux procès de Salem découlant d’une frénétique et sanglante chasse aux sorcières, entraînant ainsi la condamnation et l’exécution de vingt-cinq personnes sans compter celles qui furent emprisonnées. Une des victimes de ce chaos fut Deliverance Hobbs, une amie de Leanne Vanderbilt, sa mort fut pour son mari et elle un motif de départ pour l’Angleterre. A ce moment-là encore le pays accueillait sans broncher les habitants du nouveau monde. D’autant plus lorsqu’il s’agissait des marchands de la classe montante. Ainsi les jeunes bourgeois trouvèrent refuge à Birmingham.


Swindon, Wiltshire. Début du XIXe siècle.

Le 16 décembre 1815, Henri et Elizabeth Vanderbilt accueillirent enfin leur enfant tant attendu. Une fille. Aliénor-Victoria-Marianne-Natalie Vanderbilt. Monsieur et Madame faisaient partie de la landed gentry autrement dit la bonne société anglaise regroupant la haute bourgeoisie et la noblesse titrée, ou non. Lui, enseignait la littérature et la philosophie française en université ; elle, tenait avec maniaquerie leur immense domaine. L’un comme l’autre étaient très attachés aux valeurs qui incombaient à leur statut, la petite Aliénor reçut donc une éducation exemplaire peut-être quelque peu biaisée par la tendresse particulière dont la couvrait son père. Henry la voyait en effet comme un modèle féminin et plus jeune de lui-même, non sans fierté d’ailleurs. Ce qui ne manquait pas d’épuiser la patience de Lady Eliza qui, bien qu’elle n’ait jamais été méchante, songeait à trop de droiture concernant le comportement de sa fille si rêveuse et frivole. Raison pour laquelle elle fut envoyée à Oxford pour ses études, rentrant seulement pour les quelques vacances et fêtes, puis à Southampton. Elle assista là-bas aux cours de français, d’orthographe et de couture. Sans oublier la danse, la musique et le théâtre. La jeune demoiselle rencontra au cours de ses classes un jeune homme en tous points charmant, plein d’esprit, nommé Louis Roche de Cantel. Celui-ci venait d’hériter du château, et donc de l’immense fortune, d’une tante sans descendance qui avait émis le souhait de lui léguer tous ses biens. Lorsqu’Aliénor termina sa scolarité, il s’empressa de se rendre avec elle au domaine des Vanderbilt, dans la petite ville de Swindon, afin de demander sa main à son père. Madame eut vite fait d’accepter comme ce jeune français était entré dans la noblesse britannique. Son mari en fit de même mais pour la simple et bonne raison qu’il n’avait jamais vu sa fille si heureuse et épanouie ni un homme plus sincère et amoureux. 
L’année qui suivit, par un bel été, la toute jeune Vanderbilt Roche de Cantel eut le plus beau mariage qu’une demoiselle puisse rêver. Sans doute aucune épouse n’eut jamais paru plus lumineuse, rayonnante, resplendissante, prodigieuse qu’Aliénor ce jour-là. Le temps s’écoula ensuite paisiblement pour le jeune couple, la brunette évoluait discrètement dans le monde en tant que femme de Lettres inspirée par les idées avangardistes et révolutionnaires de son tendre mari. Celui-ci s’attirait d’ailleurs les foudres de ses contemporains mais il n’y avait « rien à craindre, ma douce », disait-il. Et, en femme très éperdue, elle voulut bien le croire. Puis les saisons passèrent encore et ils eurent une fille Flora… Puis un fils, John, quatre ans plus tard.


Southampton, Angleterre. Mars 1845.

La pluie ne faisait que tomber depuis des jours. Tant qu’on se demandait s’il ne faudrait pas se déplacer à la nage d’une maison à une autre. A la plus grande préoccupation de monsieur et madame Roche de Cantel, leurs deux enfants avaient une très forte fièvre. Nombre de bambins étaient dans le même cas par la faute de ce froid humide et pénétrant. Résultat ? Le stock de remèdes s’épuisait avec le souffle de vie de certaines de ces petites créatures. La situation devenait critique ; lors on demanda à une poignée de médecins de supplier l’ordre de Londres un quelconque médicament. Aliénor fut conviée au voyage sous prétexte qu’elle était leur meilleure diplomate. Ce qui en soit n’avait rien de faux. Le voyage jusqu’à la capitale durerait plusieurs jours et fort heureusement la pluie avait cédé à un ciel dégagé par le vent des côtes. Laisser sa progéniture et son mari serra le cœur de la jeune mère.

- Prends bien soin des enfants Louis et ne t’attire pas d’ennuis en mon absence. 
- Je te le promets, ma douce. Pars tranquille et reviens-moi au plus vite. Je t’aime ma belle Aliénor.
- Et moi donc… De tout mon cœur. 

Elle partit après avoir embrassé Flora et John non sans inquiétude. Si seulement elle avait su à ce moment-là que son instinct ne le trompait pas.

~~~

Quelques jours plus tard revint le petit convoi avec un chargement assez lourd pour soigner tout le pays ! Personne ne l’accueillit au village cependant. Louis avait dû rester avec les enfants. Chacun rentra chez soi donc, fatigué par le périple. Sa demeure se trouvait plantée à la lisière de la forêt. Sa demeure… Arrivée devant l’immense bâtisse de pierres, la jeune femme sentit son cœur s’arrêter. La façade était noircie, rongée par les flammes. Prise d’un élan de panique mêlée à une peur désespérée, elle se rua à l’intérieur et monta quatre à quatre les marches incertaines qui conduisaient à l’étage. Rien. Rien au monde ne pouvait préparer un être humain à ce qu’elle avait sous les yeux dans cette chambre léchée par le feu. Là, recroquevillés dans un coin de la pièce, se trouvaient trois corps carbonisés serrés les uns contre les autres. Le plus grand semblant tenir dans ses bras deux autres minuscules. Aliénor tomba à genoux, la vue brouillée par les larmes et le palpitant déchiré, secouée de spasmes incontrôlables et de sanglots violents. Elle rampa plus près comme pour s’assurer que tout cela était réel. Cette odeur de chair brûlée… Un haut le cœur la surprit si fort qu’il lui crama la gorge. Couverte de bile, de suie, la jeune femme hurla et hurla encore sa douleur toute la nuit durant. Elle hurla à tous ceux qui ne l’entendraient jamais, sa détresse. La plaie béante d’une mère qui regardait les cadavres pétrifiés et noirs de sa famille. Elle cria tant que sa voix s’éteignit ou peut-être y devint-elle sourde car elle se sentait tout de même appeler Dieu. Le supplier de lui rendre tout l’amour qu’il venait de lui ôter. Et après un court silence, elle cria encore, les ongles plantés dans les bras à s’en arracher la peau, à s’arracher les cheveux. Mais aucune souffrance physique n’égalait celle de son âme. Cette nuit-là mourut Aliénor Vanderbilt Roche de Cantel avec les siens. 
Une enquête fut ouverte et déboucha à un simple accident ménager puis chacun retourna à sa petite existence. La veuve maigrement dédommagée n’eut plus qu’à quitter les lieux. Elle erra longtemps au hasard jusqu’à poser sa valise à Newport. La demoiselle trouva refuge dans une auberge déserte ou presque. Elle avait la désagréable impression d’avoir été suivie. Il fallait dire que son air vide de toute étincelle attirait le regard. Et pas de façon très flatteuse.


Newport, Pays de Galles. Mai 1850.

Un soir alors qu’elle avait annoncé son départ à l’aubergiste, une femme entra dans sa chambre. Elle avait l’allure d’une duchesse, le port de tête d’une reine et la prestance d’un aristocrate française. Cassandra De Marchellier se nommait-elle. Une noble parisienne d’après ce que Nora comprenait. Elle disait lire sa détresse et vouloir l’aider. Aliénor n’accepte pas, ni ne refusa. Elle se laissa juste emporter sans se préoccuper de ce qui pouvait advenir. Une semaine passa, puis deux. Grâce à sa protectrice si mystérieuse, la brune réussit à reprendre forme et contenance. Trois semaines. Elle appréhendait peu à peu cette femme qui se montrait si tendre et attentionnée. D’une curieuse façon d’ailleurs. Un mois. Ce soir-là, car Aliénor ne la voyait jamais en journée, Cassandra la rejoignit dans ses appartements et se glissa entre ses draps. D’abord réticente, elle finit par céder, confiante, à la douceur de celle qui l’avait maintenue en vie et… Sauvée ? Elle n’était plus que l’ombre d’elle-même malgré tous ces soins. La belle dame profita de cet instant de faiblesse, d’hésitation, pour la couvrir de frissons caressants, la sécuriser de ses mains et de ses lèvres puis… L’aima tendrement.

~~~

Couchée sur le flanc, nue encore, Aliénor fixait son hôte, la considérant presque perplexe.

- Pourquoi fais-tu tout cela pour moi ? 
- Parce qu’il y a en toi quelque chose qui doit être préservé et qui me plaît indéniablement. Si je te proposais de t’offrir ta libération ? La libération de cette souffrance qui t’empoisonne afin que ne soit plus que ce qui se cache au fond de toi.
- Je ne comprends pas bien… 
- Tu es d’une beauté rare, élégante et noble. Parfaitement intelligente. Tout ce que je cherche depuis fort longtemps.
- Mais… Je ne vois toujours pas… 
- Fais-moi confiance et ferme les yeux Aliénor…

La jeune femme s’exécuta sans comprendre et la sentit glisser contre elle de nouveau, son corps était plus froid… Ses lèvres prirent possession des siennes avec une étrange passion avant qu’elle ne descende sur sa gorge et se loge dans son cou. Cassandra l’enserra soudain avec une force inconnue à toute femme et planta brutalement ses crocs dans cette délicieuse peau diaphane. Ses crocs ?! Aliénor étouffa un cri de douleur, son cœur s’affolant sous l’ignorance et l’impuissance mais à mesure que la morsure se faisait profonde elle se détendit et éprouva même un plaisir sans nom. Elle se cambrait inconsciemment, réclamant plus de cette sensation grisante… Avant de s’engourdir lentement. C’était comme si elle s’endormait, dans l’incompréhension toujours et quelque chose comme de l’appréhension. La terreur fut fugace car Nora sombre dans le flou. Et bientôt elle fut entièrement vidée de toute son essence vitale. 
A son réveil, Cassandra se tenait près d’elle l’air contrit mais fascinée. Ravie ? Elle lui fit étancher sa soif à laquelle elle n’entendait rien encore, puis lui fit part de la situation. Difficile à assimiler du premier coup… S’en suivit un apprentissage du contrôle de soi avant qu’Aliénor ne gagne le droit de se rendre à son ancienne demeure. Seule. Idée qui n’enchanta pas sa Dame.

~~~

Ce que la jeune kindred découvrit à Southampton fut l’élément déclencheur de ce qu’elle allait devenir dans un futur proche. En effet il arriva à sa connaissance que la mort de sa famille avait été orchestrée visant son mari tout particulièrement qui allait faire tomber un des hommes les plus influents de la ville et dont la bonne fortune «était malhonnête. Elle traqua un à un chaque couard mêlé de près ou de loin à cette affaire et s’accorda de mettre fin à leurs misérables jours avec une cruauté démesurée et monstrueuse. Le retour de la douleur, le désir de vengeance avaient ébranlé le peu d’humanité qu’il lui restait, temporairement du moins. Elle sut cependant que plus jamais elle ne serait la femme qu’elle eut été jadis.

~~~

Aliénor resta aux côtés de sa Dame jusqu’aux années 1930 environ. Tout ce temps permit à la jeune Ventrue de façonner son propre personnage à travers l’apprentissage de Cassandra. Non, elle s’était créée avec un recul indifférent et se servait de tout ce que sn aînée si dévouée voulait bien lui offrir. En effet Nora devina facilement la nature des sentiments de sa Dame à son égard. Elle joua donc les amantes éternelles, avide de découverte. Toutes deux finirent par se rendre à Salem aux alentours de 1910 afin que la novice apprenne de cette magie vampirique bien connue de mademoiselle De Marchellier et qui attira beaucoup son apprentie. Ainsi commença l’ascension sociale d’une vampire pleine d’ambition. Sa Dame avait raison, elle avait tout perdu et devait désormais se reconstruire dans cet univers si attrayant et intrigant. Ce fut cependant auprès d’un jeune mekhet que la belle apprit tout des clans et ligues de par le monde se découvrant par la même un fort désir de conquête attisé par une curiosité bien titillée. Cette relation si complice, cependant, déplut grandement à Cassandra et Aliénor abandonna froidement mais à contrecœur ce nouvel « ami ». La jalousie et la possessivité maladive de sa protectrice arrivèrent vite à un point d’étouffement ressenties comme une entrave à sa volonté. Si, humaine, elle l’avait vue comme une bienfaitrice, aujourd’hui sa nature faisait que la dame n’était plus qu’un obstacle devant une liberté et une indépendance ardemment voulue. Mais comment s’en défaire ? Là était toute la question. Tout acte définitif lui porterait préjudice. Et elle ne se laisserait pas exposer au soleil même pas par désespoir amoureux. Dommage. Ne restait plus que la solution de la mise en scène qui l’avait détruite. D’un symbolisme pathétique n’est-ce pas ? Une nuit donc, alors que Cassandra était enfin tombée en torpeur, Nora exécuta son plan. Il ne fallait pas traîner comme le jour pointerait tôt. Un feu de cheminée pouvait faire tant de dégâts… Une bûche qui tombe, des braises qui s’éparpillent, des livres qui flambent et une structure de bois qui s’embrase et s’écroule. Aliénor déjà loin ne doutait pas de son efficacité. Ainsi fut franchie une nouvelle frontière, fit-elle un pas vers de plus grandes ambitions.


Nouvelle-Orléans, Louisiane. Juillet 1930.

Le jazz envahissait les rues de jour comme de nuit. La Nouvelle-Orléans la ville où rien de meurt jamais et où, au contraire, chaque chose est plus vive que nulle part ailleurs. Aliénor trouva ce lieu approprié pour sa réelle renaissance. Ici, elle allait parfaire sa ruse. Bougrement intelligente, pleine d’esprit, engagée, d’une détermination à toute épreuve, la jeune Ventrue fut rapidement repérée parmi ce lot de vampires poussiéreux qu’offraient les faubourgs. En bonne arriviste-opportuniste qu’elle était Aliénor ne reculait devant rien. Minauder, séduire, manipuler, elle excellait dans tous ces arts et trouvait à chacun sa faille ultime. Sans doute était-ce son plus grand et meilleur tour de force politique, celui de déceler la corde sensible de quiconque, homme ou femme. L’un comme l’autre étaient dans leurs genres risiblement prévisibles. Calculatrice, elle ne tapait que dans l’utile, l’intéressant. Agissant dans l’ombre afin d’éviter des représailles hâtives, elle se rapprochait des puissants, doucement mais sûrement, et devint maintes et maintes fois un pygmalion mimé. Monté de toute pièce. Faux mais si merveilleusement efficace pour remplacer ces loques. Sa renommée officielle se fit tardivement, toutefois, elle eut pour effet de la lancer sur le chemin de la hauteur encore un peu plus et, au fil des années, elle fit de la Nouvelle-Orléans son empire. En effet, Aliénor fut celle qui projeta le Cercle de la Sorcière à la tête de la ville comme il l’avait été autrefois. Elle mena ses affaires d’une main de fer dans un gant de velours et ce, jusqu’à le fin du siècle. 
Dix ans avant le nouveau millénaire, le Doyen du Cercle anciennement établi à Londres, et trop avancé dans l’âge affirma-t-il, se mit en réseau avec elle. Il lui proposa de prendre sa place afin de relancer la ligue sur les rails sachant qu’elle serait confrontée au Prince de la capitale. Un nouveau défi. Un challenge lui tendait les bras. Aliénor avait la main mise sur la Nouvelle-Orléans depuis si longtemps… Après avoir longuement étudiée la question, elle accepta et céda sa place à un successeur qu’elle savait digne.


Londres, Angleterre. Octobre 1996.

Retour sur sa terre natale. Et quel retour ! Demeurant Doyenne du Cercle, elle ramena sa ligue au sein de Londres en montrant patte blanche. Sans oublier de faire preuve de bonne foi envers Lewis Winchester qui avait accepté de revenir sur son ordre comme le Doyen précédent se retirait. Les hommes ne savaient pas y faire entre eux de toute façon. Désormais le Cercle jouait selon les règles Aliénoriennes, Londres n’avait qu’à bien se tenir. Elle veilla à ce que chaque personne au cœur de sa ligue ne fasse pas de remous, ayant dans son viseur Nathaniel Lovecraft tout particulièrement. Elle faisait fi du légendaire ressentiment entre l’Invictus et le Cercle pour mieux convaincre, quitte à semer l’incompréhension de certains de ses membres. Se montrant charmante et juste, elle s’armait de patience pour persuader chacun de sa bonté et de son envie sincère de paix, montrant au Prince surtout une admiration discrète et presque complice. La réussite était une question de dosage et la Ventrue entendait bien briller plus haut. Toujours plus haut.

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Comment me voit-on ?  

Depuis vingt ans la nouvelle Doyenne du Cercle s'acharne à redorer le blason de la ligue, qui s'est forgé une sacrée réputation au fil du temps. Confiez le travail à un homme et voyez comme il en fait quelque chose de faible qualité. Cette version féminine de Bel-Ami, qu'elle incarne avec brio, est en veille. La méfiance étant encore trop présence au sein des différentes ligues. Sous un masque des plus efficaces, Aliénor redresse alors ses membres pour les plus virulents. Et elle sait se faire obéir et écouter, gare à ceux qui résistent. Son visage publique a tout d'une volonté politique diplomatique, de sage, d'érudit. Discrète mais autoritaire et ferme, juste, vertueuse. En somme tout ce qu'il faut pour prouver qu'elle souhaite que Londres s'inscrive dans une nouvelle ère. Plus paisible et harmonieuse. N'est-ce pas merveilleux ? En bonne Ventrue, cependant, elle sait que d'autres nourrissent sûrement le même espoir de régner. Autres que son désir de conquête se fera un plaisir d'évincer gracieusement. Ce qu'elle ignore toutefois pour le moment, c'est qu'un double masculin de sa personne agit également dans l'ombre, plus proche qu'elle ne le pense. Un autre contre-temps qu'elle entendra bien régler. Demeure un autre avantage, personne ne sait exactement, sinon l'ancien Doyen disparu, d'où vient cette dame aux envies de révolution. Encore moins qu'elle a déjà réussi une fois à effectuer ce tour de force qu'elle envisage de renouveler.


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