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 Elena Hearttaker - Cercle de la Sorcière - Membre - Mekhet

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Eléonore Frey
Admin
Eléonore Frey


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MessageSujet: Elena Hearttaker - Cercle de la Sorcière - Membre - Mekhet   Elena Hearttaker - Cercle de la Sorcière - Membre - Mekhet EmptySam 1 Oct - 23:22




Elena Hearttaker “On m'appelle l'Archiviste. Tout ce que je vois, je le retranscris trait pour trait.”


Mon identité...



۞ Prénom et nom : Elena Hearttaker
۞ Date et lieu de naissance : 26 mars 1971 à Londres
۞ Espèce : Vampire
۞ Clan : Mekhet
۞ Ligue : Cercle de la Sorcière
۞ Rang hiérarchique/poste : Archiviste
۞ Pouvoirs : Auspex 1, dissimulation 1
۞ Date et lieu d’étreinte : 13 octobre 1995 à Londres
۞ Age apparent/vampirique : 25 ans, 20 ans vampiriques
۞ Sir : Ethan Shade
۞ Avatar : Scarlett Johansson







Mon Histoire...

Once upon a time ...


Je naquis à Londres le 26 mars 1971 d’une famille déchirée. Mon père était banquier, ma mère était, elle, femme au foyer. Les cris fusaient chaque soir, lorsque mon père rentrait du travail. Le ménage n’était pas bien fait, les repas médiocres, ma mère pas assez docile… Et moi j’étais au milieu de leurs engueulades, sans rien pouvoir faire pour les arrêter. Et puis, chaque soir, elle se réfugiait dans leur chambre pour pleurer. Quand elle en ressortait, ses yeux étaient rouges et bouffis. Jamais ils n’ont demandé le divorce. Je fus éduquée principalement par une nounou, ma mère ne s’occupant de rien du tout. À croire qu’elle désirait rendre son image telle que mon géniteur le lui répétait… Une bonne à rien. Payée par le salaire de mon si cher père, elle me menait à l’école, et tentait tant bien que mal de m’intéresser à diverses choses, jusqu’à ce que cela fonctionne pour le dessin. Je révélai un talent impressionnant pour mon âge (j’avais alors onze ans), douée pour copier ce que je voyais sur papier.

Dès mes dix-huit ans, je suis partie de cette maison, bien trop heureuse de ne plus avoir à subir leurs constantes engueulades et l’ambiance froide, glaciale même, qui y régnait. Ce fut difficile, trouvant un travail dans un journal local au bout de quelques mois, vivant dans la rue par moments avant que ce journal ne m’ouvre ses portes. Je pus trouver un toit grâce à la colocation. Au début, je ne faisais qu’un petit boulot de chroniqueuse, répondant aux lettres des lecteurs sur certains sujets bien spécifiques. Puis, m’ennuyant fortement à ce poste, je finis par dessiner ce qui m’entourait. Une secrétaire, mon petit bout de bureau, des visiteurs, les plantes décorant l’intérieur de l’entreprise. Puis, en plein dessin, mon patron entra dans mon cagibi qui me servait de bureau et tomba sur mes dessins. Mais plutôt que de me renvoyer, fasciné par le réalisme de mes dessins, il me fit changer de poste. De petite chroniqueuse, je passais à dessinatrice du journal. Il m’assigna à un reporter de terrain, Isaac Northman, et c’est ainsi que je me mis à dessiner des lieux, des faits visibles, des gens que l’on interviewait. Les jours passèrent, puis les semaines, puis les mois, puis les années sans que rien de probant ne se passe. Je m’entendais bien avec mon coéquipier, mes œuvres étaient appréciées.

Je venais d’entamer ma vingt-cinquième année. Seulement, des faits étranges survinrent. Des disparitions. Des captures d’images étranges dans une silhouette apparaissant floue dans une vitre ou un miroir. Des corps de sans-abris retrouvés dans des ruelles vidés de leur sang. J’accompagnai mon collègue, lui écrivait, et moi je retranscrivais trait pour trait ce que mes yeux décernaient. Puis, un jour, j’allai seule dans ces endroits où d’étranges phénomènes avaient lieu, armée de mon crayon, de mon taille-crayon et de mon calepin à dessins. Je voulais voir ces scènes la nuit, pour les retranscrire avec un petit côté mystérieux, que la nuit me donnait parfaitement.

Sauf que je n’étais pas seule. Un homme qui dégageait une aura dangereuse se cachait dans l’ombre du bâtiment qui juxtaposait une des scènes que j’avais copiée de jour, mais dont le rendu ne me satisfaisait pas du tout. Mais cette silhouette se fondant parfaitement dans l’ombre irait parfaitement dans mon rendu… Lorsque je voulus commencer à le dessiner, il disparut de mon champ de vision. Mais je sentais qu’il était proche, son aura n’avait pas disparue, et elle se faisait même plus imposante…

« - Jeune fille, vous jouez avec le feu… »

Ces mots surgissaient de derrière moi, susurrés à mon oreille, grondants comme une menace. Je me retournai vivement, mais personne n’était derrière moi. Étrange. Mon cœur s’emballait, déversant une certaine quantité d’adrénaline à travers mon corps. Toute ma chair me dictait de fuir, de courir le plus loin possible de cet endroit. Mais non, mon côté journaliste désirait découvrir ce qui se cachait en ces lieux. Je ne savais si je faisais preuve de courage ou de témérité, mais je restai ici, bien décidée à découvrir le mystère qui entourait cet homme camouflé. Je tentais tant bien que mal à percer l’ombre des bâtiments, espérant déceler la présence de cette entité qui avait forme humaine. Mais rien. Vraiment curieux.
« - Auriez-vous l’amabilité de vous montrer à moi, je vous prie ? »

Aucune peur ne paraissait dans ma voix, malgré le rythme soutenu que mon cœur s’imposait.

« - Vous tenez tant que cela à mourir, jeune écervelée ? me répondit-il, sans pour autant se montrer.
- Non, mais je tiens à retranscrire le mystère de ces événements, et je crois fermement que vous en faites partie, c’est pour cela que je souhaiterais pouvoir vous dessiner. »

Je dus piquer sa curiosité, parce qu’il finit par apparaître devant moi, sortant de l’ombre. Sans demander mon reste, je pris de rapides mesures et j’entamai mon esquisse. Une certaine sagesse émanait de cet être, mais également de la dangerosité. Je pouvais sentir la puissance qui émanait de cet homme. À supposer que c’en fut vraiment un ? Les traits de carbone s’ajoutaient, implacables, affinant et ajoutant des détails infimes.

« - J’ai terminé. Vous pouvez regarder si vous le souhaitez. »

Sa silhouette disparut de mon champ de vision, et je sentis l’instant d’après une incroyable présence derrière moi. Mais comment faisait-il cela ?

« - Beau travail. Je suis impressionné. Peut-être n’êtes-vous pas faite pour cette vie-là, finalement. »

Il se plaça face à moi, sans chercher à se dissimuler. Son regard était rougeoyant. Il me força à me relever, me jaugea du regard, et fondit sur ma jugulaire. Et là je compris sa nature, réalisant que les histoires racontées aux enfants pour les effrayer lorsqu’ils n’étaient pas sages étaient vrais. Seulement, ce ne fut pas du tout de la douleur que je ressentis. Ce fut un indicible plaisir, plus puissant encore que l’apogée d’un acte sexuel. Mais il m’avait plaquée entre un mur et son propre corps, de sorte que bouger ne serait-ce qu’un peu me fut impossible. Pourtant, j’avais besoin de m’enrouler autour de lui, d’enfouir mes mains dans ses cheveux du noir des corbeaux… Mais l’épuisement croissant vint entacher cette sensation de plénitude, provoquant au passage un accès de panique, contenu par son imposante stature contre moi et l’énergie disparaissant peu à peu de mon être. Jusqu’à ce qu’un voile sombre se pose sur ma conscience tremblotante. Puis, malgré les limbes dans lesquelles j’avais été plongée, un liquide épais coula dans ma gorge, atteignant peu à peu le centre de mon être. L’épais cruor s’insinuait entre mes tissus, envahissant mes organes, jusqu’à mon cœur. Plus jamais je ne voulais avoir à subir cela, pourvu que cela finisse par m’achever… La douleur que cela avait provoqué était indicible tant elle était cruelle et insoutenable. Un mélange de bûcher et de milliers d’aiguilles rouillées me transperçant de part en part. C’était horrible, invivable, inhumain. Je voulais que cela s’arrête rapidement. Mais ce fut au bout de ce qui me sembla être des siècles que la douleur cessa, cédant sa place à une soif inconditionnelle. L’homme, ou plutôt le vampire, qui m’avait fait endurer cette tourmente avait, à mon réveil, changé de place, et tenait fermement un homme plutôt âgé, sale et presque édenté. Je me jetai sur lui sans que j’aie pu contrôler quoi que ce fût, éprouvant un plaisir encore plus grand à mordre la chair et à boire ce liquide vital qu’à être mordue. Et ce n’était pas peu dire. Celui qui m’avait transformée en une créature de la nuit finit par me stopper avant que ma trop grande soif ait tué ce pauvre vieillard. « Cela suffit pour cette fois. Lèche donc la plaie que tu as faite, je me chargerais du reste. » Je m’exécutai, et il fixa ce pauvre sans-abri dans les yeux, et un voile sembla se déposer dans les yeux de cet humain, condition que je venais tout juste de quitter.

« - Je me nomme Ethan Shade, allons dans mon repaire, je t’expliquerais tout et t’apprendrais tout ce que tu dois savoir. Mais d’abord, quel est ton nom, jeune infante ?
- Je m’appelle Elena. Pourquoi m’avez-vous transformé ? Pourquoi ne pas m’avoir tuée tout simplement ? Ou comme vous avez fait à ce vieil homme ?
- Tout vient à point à qui sait attendre. Viens et je t’expliquerais mon choix aussi. »

Je me tus et le suivis jusque dans sa demeure, qui se révéla être un manoir très bien entretenu. Là, il m’expliqua ce qu’il était, les règles que tout vampire devait respecter, le clan auquel nous appartenions, la ligue dont il faisait aussi partie. Il m’expliqua plus brièvement les autres clans et les autres ligues.

« - Il est important que tu saches faire une présentation correcte lorsque tu seras face au Prince. La Bête qui est en toi cherchera à fuir. Tu devras l’en empêcher et la contrôler.
- Vous ne m’avez toujours pas dit pourquoi vous m’avez transformée. Lui dis-je, ce qui provoqua chez mon sire un léger rire à moitié étouffé, avant qu’il ne daigne me répondre.
- Je t’ai choisie parce que tu as tenu bon à mon intimidation, tu as un talent de dessinatrice incroyable qui nous sera très utile au Cercle, et cela faisait un moment que je cherchais une humaine de ta trempe afin d’en faire mon infante. J’avais d’ores et déjà l’autorisation du Prince. De plus, tu es ravissante. Ma réponse te satisfait-elle ? ajouta-t-il avec une touche d’amusement.
- … Oui. »

J’étais restée interdite quant à la dernière raison qu’il avait donnée. J’étais ravissante ? À ses yeux, probablement. Pas aux miens. Il m’entraîna au fil des années à utiliser les dons qu’il m’avait transmis lors du baiser ultime, à chasser proprement et discrètement, et il m’apprit quelques ficelles de politique. Vingt années s’écoulèrent ainsi, j’étais prête pour la présentation.

« - Une fois que tu auras réussi ta présentation au Prince, tu vivras ta non-vie comme bon te semblera. Ma demeure restera la tienne, mais tu ne dépendras plus que de toi-même. Es-tu prête ?
- Bien sûr. »

Cela me faisait vraiment bizarre de savoir qu’après ma présentation, je serais indépendante. Durant ces vingt années, je n’avais pas perdu de vue mon ancien coéquipier, curieuse de voir comment il vivait sa vie la nuit, voir s’il était toujours dans le journalisme, s’il avait trouvé une autre coéquipière… Peut-être lui rendrais-je visite après ma présentation… Le lendemain, mon sire et moi nous rendîmes auprès du Prince de Londres, Lewis Winchester. Face à cet imposant vampire, je me tins droite, fière, muselant parfaitement ma Bête, qui ne demandait qu’à quitter cet endroit. J’avais récité impeccablement ma présentation, sans faillir. J’avais réussi. En sortant de la demeure du Prince, je souris à Ethan qui était resté dehors, et lui fit une élégante révérence. Il sourit en retour, et s’en retourna dans la nuit, seul. Quant à moi, je me dirigeai chez mon ancien collègue de travail, Isaac, et le réveillai doucement. Il prit peur, mais il vivait seul, je n’avais pas besoin de le bâillonner, et il me reconnut. Il sauta dans mes bras, me demandant ce que j’étais devenue, pourquoi j’avais si soudainement disparu. Et je lui expliquai tout. Seulement après mes explications, je lui proposai de devenir ma goule, sans quoi j’allais devoir mettre fin à sa vie s’il refusait, puisque je venais de tout lui révéler. Légèrement transpirant, il accepta, et je lui exposai ce qu’une goule voulait dire. Rassuré, il confirma son choix, et je lui fis boire un peu de mon sang, sans toucher au sien. Le Cercle avait peut-être besoin d’une archiviste, mais les dessins seuls n’étaient, à mon sens, pas suffisants. Il fallait, pour que ce soit vraiment utile, que des écrits complètent les esquisses. Je l’invitai à venir dans le manoir de mon Sir et moi, et là encore, il accepta. Ainsi, notre protection durant la journée était assurée…


Descriptions

Comment me voit-on ?  


Elena, jolie blonde d'un mètre soixante cinq aux formes généreuses, est gentille mais réservée, se réfugie dans le dessin en observant tout ce qu'il se passe dans l'ombre.


Mes Relations...

Mon calice, John Philip Talber

Un soir, je me rendis dans un musée de l’époque victorienne qui ouvrait extraordinairement ses portes la nuit. Seulement, un jeune humain, grand, fin et possédant de longs cheveux blonds, s’y trouvait. Je ne sus ce qui m’avait attirée chez lui, mais je l’avais discrètement suivi, tout en vérifiant que personne ne nous suive. Ce fut le cas, peut-être était-ce dû à ma Bête qui s’agitait en moi. Elle avait faim. Dans un coin non fréquenté, je l’attirai à moi, l’enlaçai et lui offrit la Morsure. Je le sentis tressaillir, puis m’enlacer à son tour, dans un soupir rauque. Quand je le lâchai, il me fixait avec un tel regard… Il me retint par la manche lorsque je m’éloignai de lui, et ce fut ce geste qui me décida à faire de lui mon calice.

Ma Doyenne, Aliénor Vanderbilt  

A VOIR?


Un Conseiller colérique du Cercle, Nathaniel Lovecraft  

A VOIR?


Quelques mots...



Ce personnage un peu à part cherche des liens à développer, n'hésitez pas à contacter si vous êtes intéressé!

©never-utopia
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